* Carefully Princess
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Nom du personnage: Carefully Princess
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 | Sujet: > Concept & Histoire  Lun 27 Aoû - 10:04 | |
| Concept de TLC Tout remonte a bien longtemps... Pas au Moyen Age. Les hommes travaillaient d'arrache pied chaque matin. Et après midi aussi. Jamais le temps de manger... A vrai dire, ils n'avaient pas de quoi manger. Les chevaux du pré au milieu du village étaient entièrement réservés aux riches. Seulement, ces chevaux, ils étaient sauvage. Alors... Pour les travaillés, les personnes riches les battaient a coup de baton. Ils ne connaissaient ni le débourrage, ni la monte éthologique. Après, les chevaux se cabraient, se défendaient... Bref, ils ne laissaient pas faire. Souvent, les riches n'ayant pas l'intention de garder une bête qui ne sert a rien, envoyaient leurs chevaux a la boucherie, ou a l'abbatoir. C'etait toujours ces cas. Et après, ces gens appellés "riches" achetaient un autre cheval, et l'envoyer a la boucherie plus tard jusqu'a temps qu'ils trouvent un bon cheval d'attelage et non pas sauvage. Ils l'ont trouvés, oui, mais ce cheval... C'était moi...
Ce matin, me réveillant de bon coeur, je remarqua qu'on m'attendais depuis... combien de temps ? A peine réveillé et debout, on m'enfila rapidement un genre de licol en bois. Je n'apprécia pas et essaya de refuser de partir de mon enclos. L'homme murmura des choses au vendeur, que je ne pu entendre. L'homme donna un baton, enfin un truc en bois au vendeur, et s'approcha de moi. Je ne me sentais pas rassuré, alors, je me cabra, essayant tant bien que mal de me défendre. Le vendeur me tapa fort sur ma croupe avec son truc en bois, et je ne fu qu'obliger a avancer, mais j'essayais de rester sur place. Des minutes passèrent, et je n'étais toujours pas sorti. L'homme sorti des mots incompréhensibles dans son charabia. Dedans, j'entendis juste "cheval". Mais... Je compris rapidement que je n'étais qu'un poulain. Ma mère a côté essayer de prendre ma défense mais cette pauvre jument se faisait tabasser de coups de batons. J'étais petit, et impossible de pouvoir têter. J'en avais pourtant le besoin. Peut-être une heure après, l'homme m'enbarquait, et je regardais sans cesse dérrière moi, essayant d'appercevoir ma mère... Une dernière fois.
Une fois chez l'homme, je remarqua son air méchant et supérieur. J'avais faim, soif, et j'interdisais a l'homme de me toucher. La porte s'ouvrit et claqua, et une femme, trois filles et un garçon rentrèrent dans la maison. Ils essayèrent de me toucher, ce que je refusa encore une fois. J'étais sauvage, et je ne pourrais rien y faire. Le soir, ils me mit dans un pré sans herbe. Mais moi, je ne voulais pas d'herbes, mais du lait. Un bout de la barrière était cassé, et je m'y rendit et poussa un peu sur le piquet. Il s'ouvrit, laissant un espace étroit. Juste ma taille ! Je me faufila et... Libertée. Le premier mot qui me vint a l'esprit. Je ravala ma salive, et prit une pleine respiration. Je commenca a marcher... C'était dur et je tenait a peine sur mes pattes. Si je continuais a marcher si lentement, je ne retrouverais pas ma mère. J'essaya de galoper, et deux secondes a près, je tomba par terre, non pas de fatigue. J'étais tombé, juste car je ne savait absolument pas galoper. Si seulement ma mère était là... Des heures passèrent, des journées entières... Et je n'arrivais toujours pas a galoper. Ce matin, je me réveilla, et pris une pleine inspiration. J'avais dormis devant une maison. Je me leva, et vit avec stupeur que le quartier était vide. Je marcha rapidement, ce qui m'obliga a partir au trot. Je m'arréta, stupéfait. J'avais réussi a trotter. Très vite, je recommenca a trotter. Ca a aller plus vite. J'arriva devant un enclos, fermé. Je passa ma tête dans les barrières. Regardant autour de moi, je constata que.... L'endroit où je suis actuellement est mon endroit natal ! Une jument se dirigea vers moi... C'était ma mère. Elle essaya d'ouvrir l'enclos... Elle y arriva ! C'était un miracle, presque. Je me jeta sur ma mère, tout content. Je têta rapidement, j'avais soif. Enfin résassié, je proposa a ma mère de quittait cette enclos pourrave. Ma mère aquiesa et on partit tout les deux . Pendant qu'on galopait... Un flash nous éblouie et nous étions obligés de s'arrêter. Je tomba de mal, un tremblement de terre se fit entendre. Il gronda, gronda... A m'en arracher les oreilles. Je ferma les yeux et tomba dans un sommeil profond... Je me réveilla, un après midi, comme beaucoup d'autres chevaux.
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